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La septième journée de Mawazine : Une symphonie de cultures et de sons

Publié le 27/06/2024

La septième journée de Mawazine : Une symphonie de cultures et de sons

La septième journée de Mawazine a démarré sous les auspices enchanteurs de la scène de Chellah avec Agathe Iracema à 17h30. La chanteuse franco-brésilienne a tissé un lien intime avec le public grâce à ses mélodies envoûtantes et sa voix sensuelle, plongeant les spectateurs dans une atmosphère où jazz et musiques du monde se rencontrent.

Au Théâtre National Mohammed V, Gregory Porter a pris le relais à 21h00. Le crooner américain a enveloppé la salle de sa voix profonde, chaque note résonnant comme une caresse musicale. Ses interprétations chargées d’émotion ont transporté l’audience dans un univers jazz, empreint de chaleur et d’authenticité.

Pendant ce temps, la scène de Salé vibrait au rythme des performances de Mouss Maher à 21h30 et de Khadija Atlas à 22h30. Mouss Maher, fidèle à son style chaâbi, a fait danser la foule avec ses rythmes entraînants. Khadija Atlas, avec sa voix puissante et son charisme, a ensuite envoûté les spectateurs, célébrant la richesse de la musique amazighe dans toute sa splendeur.

À OLM Souissi, Central Cee a enflammé la scène à 21h30, suivi de près par IAMDDB à 22h30. Le rappeur britannique, avec son énergie brute et ses récits urbains authentiques, a captivé le public. IAMDDB a ensuite apporté sa touche unique, mêlant hip-hop, jazz et soul, créant une ambiance électrique et avant-gardiste.

À OLM Souissi, l’ouverture a commencé par IAMDDB à 21H30, suivi de près par Central Cee qui a enflammé la scène à 22h30. Le rappeur britannique, avec son énergie brute et ses récits urbains authentiques, a captivé le public. IAMDDB a ensuite apporté sa touche pour une ambiance électrique.

La scène de Bouregreg accueillait Too Fan à 21h30. Le duo togolais, avec ses rythmes irrésistibles et son énergie débordante, a transformé la scène en une véritable fête, invitant les festivaliers à danser au son de leur musique enjouée et festive.

Enfin, la scène Nahda a réuni Douzi et Najwa Karam. Douzi a ouvert le bal à 21h30 avec ses sonorités modernes et son style raï, captivant le public par son charisme naturel. Najwa Karam a clôturé la soirée à 22h00, apportant la touche finale avec sa voix puissante et ses chansons intemporelles, plongeant la foule dans une transe musicale.

Cette septième journée de Mawazine a une fois de plus prouvé la richesse et la diversité de la programmation, offrant des moments d’émotion pure et de partage musical intense. La musique a une fois de plus prouvé qu’elle est un langage universel, capable de transcender les frontières et de réunir les âmes sous une même étoile.

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