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Des performances en apothéose pour la quatrième soirée de Mawazine
Publié le 24/06/2024
Une nouvelle journée s’achève à Mawazine, marquée par des performances qui ont transporté les festivaliers aux quatre coins du monde.
La soirée a débuté sur la scène de Chellah à 17h30 avec Tania Saleh, offrant une prestation délicate et intimiste. Ses mélodies empreintes de folk et de rock ont trouvé un écho particulier dans ce cadre historique mêlant passé et présent avec une élégance discrète.
À 22h00, la scène de Salé a vibré au son des artistes marocains. Said Mosker a ouvert la danse avec ses morceaux entraînants et ses paroles poignantes, rappelant la richesse et la diversité de la musique marocaine. Il a cédé la place à Hamid Kassri, maître incontesté de la musique gnaoua. Avec ses compositions hypnotiques et sa voix profonde, Kassri a transporté les spectateurs dans un voyage spirituel et envoûtant, clôturant la soirée sur une note de mysticisme et de grâce.
Simultanément, les festivaliers ont pu profiter des performances sur les scènes OLM Souissi et Orientale. SCH a pris les rênes de la scène OLM Souissi à 21h30, délivrant une performance brute et intense. Ses paroles percutantes et sa présence scénique ont électrisé la foule, ouvrant la voie à Gazo & Tiakola qui ont enchaîné avec une énergie débordante. Leurs rythmes effrénés et leurs textes incisifs ont transformé la scène en une véritable arène musicale où chaque note résonnait avec une force palpable.
Pendant ce temps, Haifa Wehbe enflammait la scène Orientale. La diva libanaise, avec son charme magnétique et ses mélodies orientales, a ensorcelé le public. Ses chansons, véritables hymnes à l’amour et à la passion, ont résonné longtemps après que les dernières notes se soient éteintes.
La soirée s’est également poursuivie au Théâtre National Mohammed V à avec Yuri Buenaventura. Le roi de la salsa a fait vibrer la salle avec ses rythmes endiablés, entraînant le public dans une danse frénétique. Ses interprétations passionnées ont rappelé la puissance de la musique pour transcender les frontières et unir les cœurs.
Au même moment, Omah Lay montait sur la scène de Bouregreg. Le chanteur nigérian, avec sa voix suave et ses beats accrocheurs, a créé une atmosphère à la fois douce et électrique. Son mélange d’afro-fusion et de pop a su captiver les festivaliers, offrant un moment suspendu entre douceur et énergie.
Cette journée à Mawazine a une fois de plus prouvé la richesse et la diversité de la programmation, offrant aux festivaliers des moments de pure magie musicale. Les artistes, chacun avec son style et son univers, ont su captiver et émerveiller, faisant de cette édition 2024 un rendez-vous incontournable pour tous les amoureux de la musique.
Les billets sont disponibles dès maintenant sur les plateformes de vente en ligne.
Pour plus d’informations et pour réserver vos billets, veuillez visiter le site web officiel du Festival « Mawazine : Rythmes du Monde » : www.mawazine.ma
Informations utiles :
19e édition du Festival Mawazine-Rythmes du Monde : du 21 au 29 juin 2024.
A propos du Festival Mawazine-Rythmes du Monde :
Depuis 2001, le Festival Mawazine-Rythmes du Monde est le rendez-vous incontournable de la scène musicale marocaine et internationale. Chaque année au mois de Juin, cette manifestation unique en son genre fait vibrer la capitale Rabat aux sons d’une musique ouverte aux quatre coins du monde grâce à un programme riche et inédit.
A propos de l’association Maroc Cultures :
Créée lors d’une assemblée générale tenue à Rabat le 23/10/01, conformément aux dispositions du Dahir du 15 novembre 1958, Maroc Cultures est une association à but non lucratif qui s’est fixée pour mission principale de garantir aux publics de la région de Rabat-Salé-Zemmour-Zaër une animation culturelle et artistique d’un niveau professionnel digne de la capitale du royaume. En écho aux valeurs fondamentales de la politique de développement de Sa Majesté LE ROI Mohammed VI, Maroc Cultures concrétise cette noble mission via le Festival Mawazine-Rythmes du Monde et différentes manifestations comme le concours Génération Mawazine, des colloques pluridisciplinaires, des expositions d’art plastique et des concerts.