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Des voix et des vibes : Le 26 juin à Mawazine

Publié le 26/06/2024

Des voix et des vibes : Le 26 juin à Mawazine

La journée de mercredi a débuté dans l’atmosphère mystique de Chellah, où Dafné Kritharas a captivé le public dès 17h30. Ses interprétations des chants traditionnels de la Méditerranée ont transporté les spectateurs dans un voyage à travers les époques et les cultures. Sa voix puissante et émotive a résonné entre les ruines anciennes, créant un moment hors du temps.

À 21h00, le Théâtre National Mohammed V a accueilli Marwan Khoury. L’auteur-compositeur libanais, connu pour ses ballades mélancoliques, a offert une performance intime et touchante. Ses mélodies délicates et ses paroles poétiques ont enveloppé l’auditoire, créant une connexion profonde entre l’artiste et ses fans.

La scène de Salé s’est animée à 22h00 avec trois icônes de la musique marocaine : Ibtissam Tiskat, Najat Aatabou, et Ikram El Filalia. D’abord, Ibtissam Tiskat a charmé le public avec ses chansons contemporaines et sa présence scénique dynamique. Najat Aatabou, avec sa voix puissante et ses interprétations chaâbi, a rappelé les racines profondes de la musique marocaine, emportant le public dans une transe collective. Enfin, Ikram El Filalia a ajouté une touche de modernité avec ses mélodies captivantes et son énergie débordante, complétant une soirée riche en émotions et en diversité musicale.

Simultanément, Ayra Starr a pris possession de la scène de Bouregreg. La jeune sensation nigériane a envoûté la foule avec ses rythmes afrobeats et son énergie débordante. Ses performances vibrantes ont été un véritable tourbillon d’émotions, laissant une empreinte indélébile sur les spectateurs.

À 22h45, Burna Boy a électrisé la scène OLM Souissi. Avec ses morceaux phares et son charisme naturel, l’artiste nigérian a transformé la nuit en une fête inoubliable. Ses rythmes afro-fusion ont fait danser le public, chaque chanson résonnant comme une célébration de la vie et de la culture africaine.

La journée s’est clôturée à la scène Nahda avec Balti, l’une des voix les plus influentes du rap tunisien. À 22h00, il a livré une performance intense, ses paroles percutantes et ses beats puissants résonnant profondément dans le cœur des spectateurs. La scène s’est transformée en un lieu de partage et d’expression, incarnant l’esprit même du festival.

Cette journée du 26 juin à Mawazine a été une véritable mosaïque de sons et de cultures, chaque artiste apportant sa propre couleur à cette célébration musicale. Le festival continue de montrer que la musique, dans toute sa diversité, est un langage universel qui unit les âmes et transcende les frontières.

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